Il était une fois une princesse du nom de Fiorimonde. Elle était d’une beauté telle que nul ne pouvait deviner la noirceur de son cœur. Un jour, son père voulut la marier. Pour rester maîtresse de son destin, Fiorimonde décida de recourir à la sorcellerie.
Une curiosité que ce texte publié pour la première fois à Londres en 1886 ! Dans l'esprit des contes de fées littéraires de l'époque, nous avons là un récit bien traduit, plutôt passionnant et agréable à lire : une princesse qui ne veut pas se marier, avec la complicité d'une sorcière, transforme ses prétendants en perles... L'illustration de style « fantasy gothique » est plutôt dans l'esprit du texte. (Revue des livres pour enfants)