Disponible
Nouvelles de Londres
Lessing, Doris (1919-2013) Auteur du texte
Collection :
Les Grandes traductions [Texte imprimé]
Année de parution :
1997
291 p. : 23 cm
« Durant la première année que j'ai passée en Angleterre, j'ai eu une vision de Londres dont je ne parviens plus à me souvenir aujourd'hui...
C'était une ville de cauchemar où j'avais vécu durant ces douze mois. Puis, un soir, en traversant le parc, m'apparut, empreint d'une beauté familière, le paysage des immeubles clairs, des arbres et des bis écarlates, et je sus que j'étais chez moi. »
Depuis son arrivée en Angleterre en 1949, Doris Lessing n'a cessé d'observer Londres et les Londoniens avec le regard perçant, quelque peu critique, mais toujours affectueux et sensible, d'une artiste. Couvrant plusieurs décennies d'écriture, Nouvelles de Londres rassemble des nouvelles et de courts textes qui sont autant d'impressions sur la capitale anglaise et ses habitants, observés à partir de la table d'un café, d'un lit d'hôpital ou du siège arrière d'un taxi. La « grande dame de la littérature anglaise » y dépeint avec clairvoyance les malaises, les ambiguïtés, les non-dits douloureux, les malentendus, les failles de la nature humaine où nichent, imperceptibles, des trésors pour qui sait étudier.
Un art de l'observation presque chirurgical, caractéristique du style et de l'immense talent de l'auteur du Carnet d'or.
C'était une ville de cauchemar où j'avais vécu durant ces douze mois. Puis, un soir, en traversant le parc, m'apparut, empreint d'une beauté familière, le paysage des immeubles clairs, des arbres et des bis écarlates, et je sus que j'étais chez moi. »
Depuis son arrivée en Angleterre en 1949, Doris Lessing n'a cessé d'observer Londres et les Londoniens avec le regard perçant, quelque peu critique, mais toujours affectueux et sensible, d'une artiste. Couvrant plusieurs décennies d'écriture, Nouvelles de Londres rassemble des nouvelles et de courts textes qui sont autant d'impressions sur la capitale anglaise et ses habitants, observés à partir de la table d'un café, d'un lit d'hôpital ou du siège arrière d'un taxi. La « grande dame de la littérature anglaise » y dépeint avec clairvoyance les malaises, les ambiguïtés, les non-dits douloureux, les malentendus, les failles de la nature humaine où nichent, imperceptibles, des trésors pour qui sait étudier.
Un art de l'observation presque chirurgical, caractéristique du style et de l'immense talent de l'auteur du Carnet d'or.