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La Terreur

part maudite de la Révolution
Collection :
Découvertes Gallimard [Texte imprimé]
Année de parution :
2010
1 vol. (127 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. : 18 cm
La mort de Louis XVI et de Marie-Antoinette, les massacres de Septembre et la guerre de Vendée, la guillotine et les lois de Prairial sont, dans notre mémoire collective, autant d'exemples de la Terreur. Aucun accord n'existe cependant, ni sur sa durée, ni sur son ampleur, ni sur ses auteurs. La mort de Robespierre, le 10 thermidor an II (28 juillet 1794), en serait le terme, avec l'exécution du principal responsable. Mais aurait-elle commencé en mars 1793, avec la naissance du tribunal révolutionnaire, en septembre 1792 avec les tueries, voire en juillet 1789, avec les premières têtes coupées ? Dérive inéluctable annonçant les totalitarismes ou rigueur inévitable pendant une guerre civile, la période est au coeur des débats sur la nature même de la Révolution française. Jean-Clément Martin inscrit la Terreur dans la longue histoire de la violence politique.
Dérive inéluctable annonçant les totalitarismes ou rigueur inévitable pendant une guerre civile, la Terreur est au coeur des débats sur la nature même de la Révolution française. Jean-Clément Martin l'inscrit dans la longue histoire de la violence politique.