Ces deux albums font partie d'un ensemble exceptionnel de 59 albums japonais anciens conservés à la bibliothèque de l'Institut national d'histoire de l'art, qui a reçu en 2003 la mission de gérer les collections d'imprimés, de manuscrits et d'estampes rassemblés par Jacques Doucet, grand couturier renommé qui consacra une grande part de sa fortune à la création d'une bibliothèque d'art et qui la légua en 1917 à l'Université de Paris.