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La mort de Carlos Gardel
Antunes, António Lobo (1942-....) Auteur du texte
Année de parution :
1995
419 p. : couv. ill. : 20 cm
En lieu et place d'un divan, le corps de Nuno, jeune toxicomane à l'agonie sur son lit d'hôpital. La séance se prolonge tel un tango diabolique. Infirmières, parents et proches défilent. Nuno écoute, depuis son coma, le frénétique débit de ses visiteurs : ressentiments, amertume et déceptions se déversent à l'envi. Pour fuir cette chorale désespérée, il se souvient des instants heureux... « Qu'on se rassure : La Mort de Carlos Gardel n'est pas un livre triste. Au contraire, c'est un roman désespéré, mais très drôle, souvent même bouffon, lyrique, aérien. » Christophe Mercier, Le Point
En lieu et place d'un divan, le corps de Nuno, jeune toxicomane à l'agonie sur son lit d'hôpital. La séance se prolonge tel un tango diabolique. Infirmières, parents et proches défilent. Nuno écoute, depuis son coma, le frénétique débit de ses visiteurs : ressentiments, amertume et déceptions se déversent à l'envi. Pour fuir cette chorale désespérée, il se souvient des instants heureux... « Qu'on se rassure : La Mort de Carlos Gardel n'est pas un livre triste. Au contraire, c'est un roman désespéré, mais très drôle, souvent même bouffon, lyrique, aérien. » Christophe Mercier, Le Point
En lieu et place d'un divan, le corps de Nuno, jeune toxicomane à l'agonie sur son lit d'hôpital. La séance se prolonge tel un tango diabolique. Infirmières, parents et proches défilent. Nuno écoute, depuis son coma, le frénétique débit de ses visiteurs : ressentiments, amertume et déceptions se déversent à l'envi. Pour fuir cette chorale désespérée, il se souvient des instants heureux... « Qu'on se rassure : La Mort de Carlos Gardel n'est pas un livre triste. Au contraire, c'est un roman désespéré, mais très drôle, souvent même bouffon, lyrique, aérien. » Christophe Mercier, Le Point