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Phantom thread
Anderson, Paul Thomas Monteur, Scénariste, 370 , 690
Année de parution :
2017
1 DVD (125 mn) : coul., son DD 5.1 : 16/9, 1.85:1
Dans le Londres des années 50, le couturier de renom Reynolds Woodcock et sa soeur Cyril règnent sur le monde de la mode anglaise. Les femmes vont et viennent dans la vie de ce célibataire aussi célèbre qu'endurci, lui servant à la fois de muses et de compagnes jusqu'au jour où la jeune et très déterminée Alma ne les supplante toutes pour y prendre une place centrale. Mais cet amour va bouleverser une routine jusque-là ordonnée et organisée au millimètre près.
" "Phantom Thread" est une oeuvre d'une richesse folle, menée par une réalisation d'une délicatesse et d'un raffinement sans pareil et un trio d'acteurs enivrant. Un immense film." " (Ecran Large), "Paul Thomas Anderson filme avec maestria un fervent corps-à-corps dans le Londres des années 1950." (Le Monde), "Les films de Paul Thomas Anderson ont tous un secret. Parfois trop voyant ("Magnolia", "There Will Be Blood"), parfois si enfoui qu'on s'épuise à vouloir le percer ("The Master"). Celui de "Phantom Thread" est le plus déchirant de tous." (L'Obs), "un film étrange et splendide, magnifiquement déroutant." (Libération), "Accepter de s'oublier, au risque de se perdre : François Truffaut avait évoqué ces tourments, jadis, dans La Sirène du Mississippi. Paul Thomas Anderson les porte jusqu'à l'incandescence." (Télérama).
" "Phantom Thread" est une oeuvre d'une richesse folle, menée par une réalisation d'une délicatesse et d'un raffinement sans pareil et un trio d'acteurs enivrant. Un immense film." " (Ecran Large), "Paul Thomas Anderson filme avec maestria un fervent corps-à-corps dans le Londres des années 1950." (Le Monde), "Les films de Paul Thomas Anderson ont tous un secret. Parfois trop voyant ("Magnolia", "There Will Be Blood"), parfois si enfoui qu'on s'épuise à vouloir le percer ("The Master"). Celui de "Phantom Thread" est le plus déchirant de tous." (L'Obs), "un film étrange et splendide, magnifiquement déroutant." (Libération), "Accepter de s'oublier, au risque de se perdre : François Truffaut avait évoqué ces tourments, jadis, dans La Sirène du Mississippi. Paul Thomas Anderson les porte jusqu'à l'incandescence." (Télérama).