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Sacred Cantatas
BWV 134 ; BWV 135 ; BWV 136 ; BWV 137
Bach, Jean-Sébastien Compositeur, Compositeur
Année de parution :
2012
1 d.c. carton.
Ein Herz, das seinen Jesum lebend weiß, (Un cur qui sait Jésus vivant) (BWV 134) est écrite pour deux hautbois, deux violons, alto, basse continue, alto et ténor solistes, et chur à quatre voix. Ach Herr, mich armen Sunder (Seigneur, moi, pauvre pécheur) (BWV 135), est la quatrième du second cycle annuel des cantates choral, donnée la première fois le 25 juin 1724. Le chur d'ouverture est une fantaisie chorale comme dans les cantates chorales précédentes. Bach avait commencé le premier de son deuxième cycle avec le cantus firmus de la mélodie de choral attribué au soprano. Dans ce quatrième ouvrage c'est la basse qui est à l'honneur. Erforsche mich, Gott, und erfahre mein Herz (Sonde-moi, Dieu et connais mon cur), (BWV 136) est écrite pour cor d'harmonie, hautbois, hautbois d'amour, deux violons, alto, et basse continue avec trois solistes (alto, ténor, basse) et chur à quatre voix. Le choral d'ouverture est en deux parties A et A', des fugues chorales chacune sur les mêmes thèmes et présentant le texte complet. Une ritournelle instrumentale développée et dominée par le cor d'harmonie se fait entendre avant, entre et après les sections chorales. Durant tout le mouvement, les deux hautbois ne jouent jamais de façon indépendante mais doublent les violons dans les ritournelles et la soprano dans les sections vocales1. Bach utilisa ce mouvement ultérieurement pour le Cum Sancto Spiritu de sa Messe en la majeur. Lobe den Herren, den mächtigen Kvnig der Ehren (Toi mon âme, loue le Seigneur, le puissant roi de gloire) (BWV 137) est est construite sur une symétrie : La soprano porte la mélodie dans les premier et dernier mouvements, dans le deuxième mouvement elle est chantée par l'alto et dans le quatrième mouvement elle est jouée par la trompette. Dans le mouvement central, les débuts du thème vocal comme du thème instrumental en sont issus dans la disposition la plus secrète de luvre3. La mélodie en bar form (de) a un « Stollen » en cinq mesures inhabituelles4 et atteint un sommet au début du « Abgesang (de) » que Bach souligne de plusieurs façons dans les mouvements. (wikipedia)