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Sacred Cantatas

BWV 79 ; BWV 80 ; BWV 81 ; BWV 82
Bach, Jean-Sébastien Compositeur, Compositeur
Année de parution :
2012
1 d.c. carton.
Gott der Herr ist Sonn und Schild (Dieu, le Seigneur, est soleil et bouclier), (BWV 79), est écrite pour cor d'harmonie, timbales, deux flûtes traversières, deux hautbois, deux violons, alto et basse continue avec trois voix solistes (soprano, alto, basse) et chœur à quatre voix. Ein feste Burg ist unser Gott (Une forteresse sûre est notre Dieu) (BWV 80) est our trois trompettes, timbales, deux hautbois, deux violons, alto, violoncelle, violone (contrebasse), orgue continuo (on suppose que les trompettes et les timbales ont été ajoutées ultérieurement par Wilhelm Friedemann Bach), avec quatre solistes (soprano, alto, ténor, basse) et chœur à quatre voix. Le fameux choral d'introduction est considéré comme l'un des point culminants de l'art de la composition chorale de J.S. Bach. Le premier verset est présenté sous la forme d'un motet choral dans lequel les voix chantent chaque phrase sous une forme fuguée. Après ce passage, la mélodie du choral semble un double cantus firmus transcrit en canon pour le hautbois. Jesus schläft, was soll ich hoffen? (Jésus dort, que puis-je espérer ?), (BWV 81), est est écrite pour deux hautbois d'amour, deux flûtes à bec, deux violons, alto et basse continue. Les flûtes à bec et les hautbois ont probablement été joués par les mêmes musiciens, trois voix solistes (alto, ténor, basse) et un chœur à quatre voix dans le choral. Bach exprime les questions de l'« âme » angoissée de façon spectaculaire. Ich habe genug (Je suis comblé), (BWV 82) est écrite pour hautbois, deux violons, alto, orgue, basse continue avec une basse solo et un chœur à quatre voix. L'auteur inconnu du texte a pris l'histoire de Syméon comme point de départ de la cantate. Le vieux Syméon reconnaît le Messie en l'enfant Jésus à l'occasion de la visite au temple de Marie avec son fils. Sa vie est ainsi accomplie et il peut mourir dans la joie. Le récitatif transmet cette aspiration à la mort au Chrétien qui cherche Jésus dans la paix et la quiétude après la vie. La deuxième aria connue sous le nom de « Schlummerarie » (aria du sommeil) possède le caractère d'une berceuse accompagnant le mourant. Avec son caractère joyeux, l'aria finale présente un fort contraste avec les deux premières arias. (wikipedia)