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Sacred Cantatas
BWV 67 ; BWV 68 ; BWV 69 ; BWV 69a
Bach, Jean-Sébastien Compositeur, Compositeur
Année de parution :
2012
1 d.c. carton.
Halt im Gedächtnis Jesum Christ (Gardez le souvenir de Jésus-Christ) (BWV 67), est écrite pour être jouée le 24 avril 1724, premier dimanche (Quasimodo) après Pâques. Le chur d'ouverture reflète le contraste de l'espérance et de la résurrection par rapport à la fois au souvenir et au doute, contraste présent tout au long de la cantate. Le choral est structuré symétriquement en sept parties commençant par une sinfonia instrumentale de tous les instruments, avec introduction par le cor d'un thème qui représente le souvenir dans une mélodie qui ressemble à l'air choral de O Lamm Gottes, unschuldig que Bach utilise ultérieurement comme cantus firmus dans l'ouverture de sa passion selon saint Matthieu. Bach fait ainsi allusion à l'idée que Jésus a souffert innocemment pour les «péchés du monde" avant de ressusciter. Also hat Gott die Welt geliebt (Ainsi Dieu a-t-il témoigné son amour pour le monde) (BWV 68) est écrite pour trois trompettes, trois trombones, deux hautbois, cor anglais, cor d'harmonie, deux violons, violoncelle piccolo, alto, basse continue, ainsi que d'un soliste vocal (soprano) et un chur à quatre voix. obe den Herrn, meine Seele (Bénis le Seigneur, mon âme), BWV 69, est écrite pour 3 trompettes, timbales, flûte, deux hautbois, hautbois d'amour, basson, deux violons, alto, basse continue, quatre solistes vocaux (soprano, alto, ténor, basse) et chur à quatre voix. Dans la cantate BWV 69a, Bach reflète la dualité des paroles du psaume du chur d'ouverture en créant une double fugue. Les deux thèmes sont d'abord traités séparément puis combinés. Dans la première aria, qui est un mouvement pastoral, le ténor est accompagné par le hautbois da caccia, la flûte à bec et le basson3. Dans une version ultérieure vers 1727, Bach modifia l'instrumentation en faveur d'un alto, d'un hautbois et d'un violon, peut-être parce qu'il n'avait pas à sa disposition de musiciens pour la première disposition colorée des bois. Dans la seconde aria, le contraste entre « Leiden » (souffrance) et « Freuden » (joie) est exprimé par de vibrantes et chromatiques coloraturas, ascendantes d'abord puis descendantes.(wikipedia)