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Sacred Cantatas
BWV 57 ; BWV 58 ; BWV 59 ; BWV 60
Bach, Jean-Sébastien Compositeur, Compositeur
Année de parution :
2012
1 d.c. carton.
Selig ist der Mann (heureux l'homme qui), (BWV 57), est écrite pour petit ensemble : deux hautbois, hautbois da caccia, deux violons, alto, basse continue avec deux voix solistes soprano et basse. L'âme est chantée par la soprano tandis que la basse est la Vox Christi, la voix de Jésus. La musique pour le dialogue entre Jésus et l'âme est plus dramatique que dans la plupart des cantates religieuses de Bach. Presque tous les récitatifs sont secco comme dans les opéras de l'époque et dirigent l'action. Ach Gott, wie manches Herzeleid (Ah ! Dieu, quelles afflictions ) (BWV 58) est est écrite pour deux hautbois, hautbois da caccia (indiqué « taille » dans quelques partitions), deux violons, alto, basse continue et deux solistes (soprano, basse). Wer mich liebet, der wird mein Wort halten (Celui qui maime gardera ma parole), (BWV 59) est écrite pour deux trompettes, timbales, deux violons, alto et basse continue avec deux voix solistes (soprano, basse) et chur à quatre voix. Comparé à une formation orchestrale festive typique, il manque les bois et une troisième trompette. O Ewigkeit, du Donnerwort (O Eternité, parole redoutable), (BWV 60), est parfois appelée une cantate solo parce que des voix solistes jouent tous les mouvements sauf le choral final. Bach avait composé un dialogue trois semaines auparavant dans Ich glaube, lieber Herr, hilf meinem Unglauben, BWV 109, comme dialogue intérieur donné à un chanteur. Dans cette cantate il assigne la peur à l'alto, l'espoir au ténor et les fait chanter trois mouvements en dialogue. Dans le quatrième mouvement, c'est la basse, la Vox Christi (voix du Christ) qui répond à la peur avec Selig sind die Toten. (wikipedia)