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Sacred Cantatas

BWV 48 ; BWV 49 ; BWV 50 ; BWV 51
Bach, Jean-Sébastien Compositeur, Compositeur
Année de parution :
2012
1 d.c. carton.
Ich elender Mensch, wer wird mich erlvsen (Misérable que je suis, qui me délivrera?), (BWV 48)est écrite pour trompette, deux hautbois, deux violons, alto, basse continue, deux voix solistes (alto, ténor) et chœur à quatre voix. Le chœur d'ouverture contient une mélodie instrumentale de choral. Elle peut se référer aux mots Herr Jesus Christ, du hvchstes Gut de Bartholomäus Ringwaldt mais créé également un lien avec le chœur final chanté sur la même mélodie et par conséquent peut également citer sa première strophe. Ce choral cantus firmus est joué par la trompette en canon avec le hautbois. Dans l'introduction instrumentale les cordes présentent des thèmes qui seront repris en contre-sujet au thème de lamentation des voix. Ich geh und suche mit Verlangen (Je m’en vais plein de ferveur à ta recherche) (BWV 49) est est emprunte d'un caractère exceptionnellement joyeux ce qui donne à l'orgue un traitement inhabituel et plus suggestif d'une fête de mariage bourgeois que d'une cantate d'église. Dans le manuscrit autographe l’œuvre est appelée « Dialogus » et de fait, tant les voix alto et ténor que le chœur - presque toujours présents dans les cantates - sont ici absents. Il s'agit également de l'une des rares cantates de Bach qui fait appel à un violoncelle piccolo. Le choral final est remarquable par sa délicate construction : Pendant que l'orgue joue une ritournelle, un dialogue s'engage entre les délicieuses arioso de la partie basse et la mélodie du choral présentée par le cantus firmus du soprano. Pour la cantate BWV 50, Son seul mouvement est évidemment trop court pour remplir une fonction liturgique complète, ce qui suggère que ce choral était la première ou la dernière partie d'une cantate aujourd'hui perdue. Jauchzet Gott in allen Landen (Réjouissez-vous partout en Dieu) (BWV 51), est écrite pour soprano solo, trompette solo (mouvements 1 et 5), violons, altos et continuo. Tant la partie de soprano, qui couvre deux octaves et demande un do élevé dans les premier et dernier mouvements et la partie de trompette solo, qui échange parfois les lignes mélodiques avec la soprano sur un pied d'égalité, sont extrêmement virtuoses. On s'est interrogé sur l'identité de la chanteuse pour laquelle Bach écrivit la cantate et pour quel fin exactement elle avait été composée. Les femmes ne chantaient pas à l'église à l'époque de Bach mais la partie est considérée comme trop compliquée pour être tenue par la plupart des garçons soprano. Il y a eu quelques tentatives contemporaines par des ensembles de musique ancienne d'utiliser un garçon soprano soliste mais la partie est presque invariablement attribuée à une chanteuse adulte. Aucune conclusion définitive n'a été arrêtée sur la question. (wikipedia)