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Sacred Cantatas

BWV 109 ; BWV 110 ; BWV 111
Bach, Jean-Sébastien Compositeur, Compositeur
Année de parution :
2012
1 d.c. carton.
Ich Glaube, Lieber Herr, Hilf meinem Unglauben (je crois Seigneur, viens au secours de mon incrédulité), (BWV 109) est écrite pour alto et ténor solistes, un chœur à quatre voix, un cor de chasse, hautbois d'amour, deux hautbois, deux violons, alto et basse continue. Le cor de chasse est probablement le même instrument que la trompette utilisée la semaine auparavant dans l'exécution à Leipzig de la cantate BWV 162, écrite à Weimar. Sa partie n'est pas dans la partition. Dans le chœur d'ouverture elle joue la plupart du temps colla parte avec le premier violon et dans le 6e mouvement en tant que cantus firmus avec la soprano. Pour Unser Mund sei voll Lachens (Que notre bouche s’emplisse de joie) (BWV 110), Bach a retravaillé ses propres compositions pour deux mouvements de cette cantate. Le chœur d’introduction est une adaptation du premier mouvement de sa Suite pour orchestre en ré majeur (BWV 1069). Le duo soprano/ténor Ehre sei Gott in der Hvhe est un arrangement du Virga Jesse floruit du Magnificat. la cantate débute avec sa section la plus puissante, le chœur d'ouverture, qui appelle tous les instruments à jouer ensemble. Le texte se termine par la reconnaissance que le Seigneur a accompli de grandes choses pour son peuple. Le thème du choral de Was mein Gott will, das g'scheh allzeit (Ce que Dieu veut arrive toujours), (BWV 111) est basé sur le psaume « Was mein Gott will, das g’scheh allzeit ». La mélodie est de Claudin de Sermisy (ca. 1495-1562) qui était un musicien reconnu aussi bien en France qu'à l'étranger, tant pour sa musique profane que pour sa musique sacrée. Cette mélodie est tirée du recueil « Trente et quatre chansons… » imprimé par Pierre Attaingnant en 1528. (Wikipedia