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Moi, Daniel Blake
Loach, Ken Monteur, Monteur
Année de parution :
2016
1 DVD (97 mn) : coul., son DD 5.1 : 1.85
Pour la première fois de sa vie, Daniel Blake, un menuisier anglais de 59 ans, est contraint de faire appel à l'aide sociale à la suite de problèmes cardiaques. Mais bien que son médecin lui ait interdit de travailler, il se voit signifier l'obligation d'une recherche d'emploi sous peine de sanction. Au cours de ses rendez-vous réguliers au "job center", Daniel va croiser la route de Katie, mère célibataire de deux enfants qui a été contrainte d'accepter un logement à 450 km de sa ville natale pour ne pas être placée en foyer d'accueil. Pris tous deux dans les filets des aberrations administratives de la Grande-Bretagne d'aujourd'hui, Daniel et Katie vont tenter de s'entraider...
"Un héros ordinaire et magnifique [dans] l'un des plus beaux films de Ken Loach. Une oeuvre d'une rectitude singulière, qui évite la raideur par la vertu de sa profonde humanité." (Thomas Sotinel, Le Monde), "Cette charge virulente contre la privatisation des services publics montre que Loach n'a rien perdu de sa verve dans un cinema dont la mise en scene simple et limpide nourrit la force du temoignage." (Michaël Melinard, L'Humanité), "A 80 ans, Ken Loach n'a pas baissé les armes. Pas encore. Il a gardé intacts sa colère, son empathie, son humanisme. Sourd aux modes et aux postures cyniques, il peint, à nouveau, dans "Moi, Daniel Blake", "son" Angleterre : ce peuple que plus personne, sauf lui, n'appelle la classe ouvrière." (Cécile Mury, Télérama), "Interprète de Daniel Blake, l'humoriste Dave Johns fait merveilleusement sentir toute une existence dans sa simple présence modeste, pudique, teintée d'un humour sans plainte." (Le Figaro).
"Un héros ordinaire et magnifique [dans] l'un des plus beaux films de Ken Loach. Une oeuvre d'une rectitude singulière, qui évite la raideur par la vertu de sa profonde humanité." (Thomas Sotinel, Le Monde), "Cette charge virulente contre la privatisation des services publics montre que Loach n'a rien perdu de sa verve dans un cinema dont la mise en scene simple et limpide nourrit la force du temoignage." (Michaël Melinard, L'Humanité), "A 80 ans, Ken Loach n'a pas baissé les armes. Pas encore. Il a gardé intacts sa colère, son empathie, son humanisme. Sourd aux modes et aux postures cyniques, il peint, à nouveau, dans "Moi, Daniel Blake", "son" Angleterre : ce peuple que plus personne, sauf lui, n'appelle la classe ouvrière." (Cécile Mury, Télérama), "Interprète de Daniel Blake, l'humoriste Dave Johns fait merveilleusement sentir toute une existence dans sa simple présence modeste, pudique, teintée d'un humour sans plainte." (Le Figaro).