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Manchester by the sea
Lonergan, Kenneth 370 , 690, 370 , 690, Monteur, Scénariste
Année de parution :
2016
1 DVD (132 mn) : coul., son 5.1 : 16/9, 1.85:1
"Manchester by the sea" nous raconte l'histoire des Chandler, une famille de classe ouvrière, du Massachusetts. Après le décès soudain de son frère Joe, Lee est désigné comme le tuteur de son neveu Patrick. Il se retrouve confronté à un passé tragique qui l'a séparé de sa femme Randi et de la communauté où il est né et a grandi...
"Un pur chef-d'oeuvre, porté par un Casey Affleck inoubliable dans le rôle d'un homme brisé." (Virginie Morisson, aVoir-aLire,.com), "Manchester by the sea" s'éprouve et impressionne par l'osmose qu'il invente entre son récit, sa mise en scène et un comédien sublimé." (Didier Péron, Libération), "Le long-métrage dure 2 h 18, mais son intensité nous transporte du début à la fin. Aucune scène n'est gratuite, chaque moment se révèle extrêmement juste." (Catherine Balle, Le Parisien), "Auteur d'un cinéma intimiste d'une amplitude et d'une sensibilité devenues rarissimes dans le cinéma américain, Lonergan livre avec "Manchester by the sea" un récit bouleversant, mélodrame noueux et cristallin comme un matin d'hiver, débarrassé des canons comme des facilités du genre." (Jacques Mandelbaum, Le Monde), "Au-delà de son ancrage réaliste - communauté de marins prolétaires, lumière hivernale -, c'est bien un conte. A la fois rugueux et lyrique. Ouvert sur le seul horizon que méritent tous ces personnages fracassés : la consolation." (Louis Guichard, Première).
"Un pur chef-d'oeuvre, porté par un Casey Affleck inoubliable dans le rôle d'un homme brisé." (Virginie Morisson, aVoir-aLire,.com), "Manchester by the sea" s'éprouve et impressionne par l'osmose qu'il invente entre son récit, sa mise en scène et un comédien sublimé." (Didier Péron, Libération), "Le long-métrage dure 2 h 18, mais son intensité nous transporte du début à la fin. Aucune scène n'est gratuite, chaque moment se révèle extrêmement juste." (Catherine Balle, Le Parisien), "Auteur d'un cinéma intimiste d'une amplitude et d'une sensibilité devenues rarissimes dans le cinéma américain, Lonergan livre avec "Manchester by the sea" un récit bouleversant, mélodrame noueux et cristallin comme un matin d'hiver, débarrassé des canons comme des facilités du genre." (Jacques Mandelbaum, Le Monde), "Au-delà de son ancrage réaliste - communauté de marins prolétaires, lumière hivernale -, c'est bien un conte. A la fois rugueux et lyrique. Ouvert sur le seul horizon que méritent tous ces personnages fracassés : la consolation." (Louis Guichard, Première).