Disponible
Julieta
Almodóvar, Pedro 370 , 090, 370 , 090, Monteur, Dialoguiste
Année de parution :
2016
1 DVD (95 mn) : coul., son DD 5.1 : 16/9 compatible 4/3, 1.85 format écran
Julieta s'apprête à quitter Madrid définitivement lorsqu'une rencontre fortuite avec Bea, l'amie d'enfance de sa fille Antía la pousse à changer ses projets. Bea lui apprend qu'elle a croisé Antía une semaine plus tôt. Julieta se met alors à nourrir l'espoir de retrouvailles avec sa fille qu'elle n'a pas vu depuis des années. Elle décide de lui écrire tout ce qu'elle a gardé secret depuis toujours.
"Avec sa conclusion abrupte et amère, qui suggère une transmission de la culpabilité, le film s'éloigne des réussites consensuelles du cinéaste comme "Parle avec elle" ou "Volver". Mais il fascine par cette alchimie entre la noirceur désenchantée du fond et l'éclat rédempteur de la forme. " (Louis Guichard, Télérama), "Comme Julieta, Pedro revient toujours - à son esthétique baroque, à ses obsessions thématiques (la mère, la perte, l'échec de l'amour) - mais jamais tout à fait le même. Ca mériterait bien une palme." (Vanina Arrighi de Casanova, Première), "Jamais avant Julieta Almodovar n'avait rabattu sur ses personnages le piège du fatum avec une telle résolution. Du grand art, digne d'une tragédie grecque." (Alexandre Jourdain, aVoir-aLire.com), "De cet alliage entre la banalité de la douleur et les formes fantastiques que peut lui donner le cinéma, Almodovar fait un beau film d'une tristesse très pure." (Thomas Sotinel, Le Monde).
"Avec sa conclusion abrupte et amère, qui suggère une transmission de la culpabilité, le film s'éloigne des réussites consensuelles du cinéaste comme "Parle avec elle" ou "Volver". Mais il fascine par cette alchimie entre la noirceur désenchantée du fond et l'éclat rédempteur de la forme. " (Louis Guichard, Télérama), "Comme Julieta, Pedro revient toujours - à son esthétique baroque, à ses obsessions thématiques (la mère, la perte, l'échec de l'amour) - mais jamais tout à fait le même. Ca mériterait bien une palme." (Vanina Arrighi de Casanova, Première), "Jamais avant Julieta Almodovar n'avait rabattu sur ses personnages le piège du fatum avec une telle résolution. Du grand art, digne d'une tragédie grecque." (Alexandre Jourdain, aVoir-aLire.com), "De cet alliage entre la banalité de la douleur et les formes fantastiques que peut lui donner le cinéma, Almodovar fait un beau film d'une tristesse très pure." (Thomas Sotinel, Le Monde).