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Juke 110 portraits de bluesmen
110 portraits de bluesman
Casoni Christian Auteur du texte
14.8 cm x 21.0 cm x 27 mm (Poids : 560 gr ) : 21 cm x 14 cm
Un bègue, une cagette. Il faut les faire sonner comme un band. Voilà leSaint-Esprit qui descend sur Besman et Siracuse. La semelle bat la mesurecontre une palette. Un micro au ras du sol capture le stomp. Un autre microsur la guitare. Les latrines, 2,50 mètres plus loin. L'enceinte est chambréedans la cuvette des chiottes. Dans cette cuvette, face à l'enceinte, encoreun micro. Son câble retourne au studio, dans une enceinte orientée sur laguitare, qui rebalance toute la sauce dans la caisse par la rosace, et fermela boucle ! Charles Shaar Murray, qui décrit la scène, écrase une larmedevant l'invention fortuite et précoce de la chambre d'écho.
Intéressé par l'idée de reconnecter les fans de rock au blues, PhilippeManœuvre donne à Christian Casoni les clefs de la rubrique BeanoBlues dans Rock&Folk pour parler du chant des jukes, ces abreuvoirscampagnards. Il décide de le faire sur un ton qu'il veut légèrementsacrilège, et met au ban le traitement savant de cette musique. Au fild'une anthologie d'articles qui sonnent comme autant de nouvellesde série noire, le journaliste tend à montrer que s'adresser aux fansdes Stooges et des White Stripes, c'est inévitablement parler à ceuxde Howlin' Wolf, Elmore James ou Hound Dog Taylor.
Un bègue, une cagette. Il faut les faire sonner comme un band. Voilà leSaint-Esprit qui descend sur Besman et Siracuse. La semelle bat la mesurecontre une palette. Un micro au ras du sol capture le stomp. Un autre microsur la guitare. Les latrines, 2,50 mètres plus loin. L'enceinte est chambréedans la cuvette des chiottes. Dans cette cuvette, face à l'enceinte, encoreun micro. Son câble retourne au studio, dans une enceinte orientée sur laguitare, qui rebalance toute la sauce dans la caisse par la rosace, et fermela boucle ! Charles Shaar Murray, qui décrit la scène, écrase une larmedevant l'invention fortuite et précoce de la chambre d'écho.
Intéressé par l'idée de reconnecter les fans de rock au blues, PhilippeManœuvre donne à Christian Casoni les clefs de la rubrique BeanoBlues dans Rock&Folk pour parler du chant des jukes, ces abreuvoirscampagnards. Il décide de le faire sur un ton qu'il veut légèrementsacrilège, et met au ban le traitement savant de cette musique. Au fild'une anthologie d'articles qui sonnent comme autant de nouvellesde série noire, le journaliste tend à montrer que s'adresser aux fansdes Stooges et des White Stripes, c'est inévitablement parler à ceuxde Howlin' Wolf, Elmore James ou Hound Dog Taylor.
Intéressé par l'idée de reconnecter les fans de rock au blues, PhilippeManœuvre donne à Christian Casoni les clefs de la rubrique BeanoBlues dans Rock&Folk pour parler du chant des jukes, ces abreuvoirscampagnards. Il décide de le faire sur un ton qu'il veut légèrementsacrilège, et met au ban le traitement savant de cette musique. Au fild'une anthologie d'articles qui sonnent comme autant de nouvellesde série noire, le journaliste tend à montrer que s'adresser aux fansdes Stooges et des White Stripes, c'est inévitablement parler à ceuxde Howlin' Wolf, Elmore James ou Hound Dog Taylor.
Un bègue, une cagette. Il faut les faire sonner comme un band. Voilà leSaint-Esprit qui descend sur Besman et Siracuse. La semelle bat la mesurecontre une palette. Un micro au ras du sol capture le stomp. Un autre microsur la guitare. Les latrines, 2,50 mètres plus loin. L'enceinte est chambréedans la cuvette des chiottes. Dans cette cuvette, face à l'enceinte, encoreun micro. Son câble retourne au studio, dans une enceinte orientée sur laguitare, qui rebalance toute la sauce dans la caisse par la rosace, et fermela boucle ! Charles Shaar Murray, qui décrit la scène, écrase une larmedevant l'invention fortuite et précoce de la chambre d'écho.
Intéressé par l'idée de reconnecter les fans de rock au blues, PhilippeManœuvre donne à Christian Casoni les clefs de la rubrique BeanoBlues dans Rock&Folk pour parler du chant des jukes, ces abreuvoirscampagnards. Il décide de le faire sur un ton qu'il veut légèrementsacrilège, et met au ban le traitement savant de cette musique. Au fild'une anthologie d'articles qui sonnent comme autant de nouvellesde série noire, le journaliste tend à montrer que s'adresser aux fansdes Stooges et des White Stripes, c'est inévitablement parler à ceuxde Howlin' Wolf, Elmore James ou Hound Dog Taylor.