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Jacques a dit
récit autobiographique
Morgenstern, Susie (1945-....) Auteur du texte
Année de parution :
2015
1 vol. (223 p.) : 19 cm
La star de la littérature jeunesse écrit pour la première fois un livre destiné aux adultes. Elle raconte sa propre histoire, à travers celle de son mari, le grand mathématicien français Jacques Morgenstern, avec qui elle a vécu sa grande histoire d'amour. Son texte décrit la beauté de cette relation toute imprégnée de la religion juive qu'ils pratiquent tous deux, avec le talent que l'on connaît, basé sur une incroyable aptitude à manier l'humour, la cocasserie la plus débridée. Mais au travers de ce récit de l'histoire d'un couple désassorti, transparaît une magnifique réflexion sur l'amour, ce qui le fait durer, et à quel prix.
Une histoire universelle donc et un texte qu'il est impossible de lâcher.Impossible de rester indifférent aux bonheurs et aux malheurs de Susie.
Début :
Jacques a dit : « Il y a deux sortes de femmes. Je suis tombé sur la seconde. » J'étais donc une femme du deuxième type, seulement je n'ai jamais su en quoi consistait ma catégorie, ni pourquoi Jacques avait traversé l'Atlantique pour ramener une candidate aussi improbable à son amour. Il a peut-être vu en moi un projet humanitaire et éducatif, une chance d'être un Pygmalion. Son ami Oscar a dit à Jacques en me montrant du doigt : « Tu comptes fonder une famille française avec... ça ? »
Dernière phrase :
Jacques n'a rien dit, il a simplement appelé toute l'énergie qui lui restait pour former un dernier sourire.
Tout ce que j'ai écrit avant sa mort et depuis vingt ans qu'il est mort est une longue lettre d'amour pour lui.
Une histoire universelle donc et un texte qu'il est impossible de lâcher.Impossible de rester indifférent aux bonheurs et aux malheurs de Susie.
Début :
Jacques a dit : « Il y a deux sortes de femmes. Je suis tombé sur la seconde. » J'étais donc une femme du deuxième type, seulement je n'ai jamais su en quoi consistait ma catégorie, ni pourquoi Jacques avait traversé l'Atlantique pour ramener une candidate aussi improbable à son amour. Il a peut-être vu en moi un projet humanitaire et éducatif, une chance d'être un Pygmalion. Son ami Oscar a dit à Jacques en me montrant du doigt : « Tu comptes fonder une famille française avec... ça ? »
Dernière phrase :
Jacques n'a rien dit, il a simplement appelé toute l'énergie qui lui restait pour former un dernier sourire.
Tout ce que j'ai écrit avant sa mort et depuis vingt ans qu'il est mort est une longue lettre d'amour pour lui.